From: Soil Chroniques
Published: June 1, 2017
Deux types qui se répartissent les tâches des instruments et de la voix, cela me rappelle un autre duo : Anaal Nathrakh. La comparaison va s’arrêter là pour Obitus, leur « Slaves of the vast Machine » étant bien plus intéressant que les dernières sorties des Anglais.
Un seul titre, éponyme, de quarante-cinq minutes, c’est ambitieux. Mais dans un exercice tel que celui-là, l’ambition n’est pas le problème, ni même la ...
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